Présentation de Stéphane Valéry
« Je m’appelle Stéphane, Stéphane Valéry, Stéphane Ilievitch dit Valery comme vous le sentez ! Le pilotage a toujours été ma passion. J’ai tenu un volant dés mon plus jeune âge et depuis, cette obsession ne m’a plus lâchée. Elle est tellement présente dans ma vie que j’ai souhaité qu’elle soit intégrée à mon activité professionnelle.
J’ai toujours eu envie de participer à l’aventure des rallyes africains, moi le gosse (je crois que je le resterai toujours!!) qui rêvait devant Thierry Sabine, Daniel Balavoine, Pescarolo et son proto qui brûle au loin ou encore Auriol qui pleure de douleur à l’arrivée d’une étape. Mon rêve est devenu accessible le jour où j’ai croisé le chemin de mon fidèle proto T3 digne de ces heures de gloire. Ce rêve est enfin devenu réalité avec la Transafricaine Classic. »
Pour la petite histoire, je reçois un jour de l’année 2006 une petite annonce de quelqu’un qui recherche un Range Rover à 6 roues. Je m’empresse de publier l’annonce. Je ne me souviens plus très bien des détails, mais je crois qu’il me demande de l’appeler, ce que je fait, il m’explique qu’il souhaite faire la Transafricaine 2007 avec un Range Rover à 6 roues. Il me fourni l’adresse d’un site internet sur lequel j’allais trouver l’histoire de sa précédente Transafricaine en 2006.
Généralement, lorsque je passais une petite annonce de recherche, elle pouvait rester des mois sur le site avant qu’il y ait un contact. Mais là, environ 2 semaines plus tard, je reçois un appel de Stéphane Valery qui me dit que je peux retirer l’annonce parce qu’il a trouvé un TACR2a an Angleterre et qu’il l’a ramené en France ! Et il m’envoie une photo :
Un TACR en France !
Son idée globale de l’époque est de faire un véhicule d’assistance à 6 roues engagé dans la course pour accompagner son proto.
Le Proto de la Team Valery-Cassier
La suite de l’histoire, je vous la raconterai dans les pages suivantes, mais ce qu’il faut tirer de tout ça, est une chouette amitié qui s’est construite au fil du temps entre Stéphane Valéry, Carole Edouard et moi.
